Fleur emblème des pyrénées,
tu l'es aussi de ce jardin
dont tu as été la bannière
il y a quelques années.
Ramonda myconi.
fleur qui est si accueillante,
On n'a pas à te semer
tu seras toujours présente.
petite cloche si chantante,
reviens vite au printemps prochain,
noire, se détachant sur la roche,
mais un coeur d'or à son approche
la sublime dans la rosée.
Bien d'autres, vous pourrez retrouver
en cliquant sur cet album
le jardin est toujours au summum.
Bonsoir eric,
RépondreSupprimerJe suis fascinée par la beauté de ton pavot!!!!
Je cours voir ton diapo: ce mois de novembre nous rend tous nostalgique et on passe tous en revue les photos des floraisons passées...
L'occasion de réfléchir, de faire une pause: nos réussites, nos échecs, les améliorations à apporter.. L'hiver a du bon parce qu'il permet de prendre du recul...
Bises et à très vite
sophie
C'est un joli poème fleuri. Et pourtant le temps était de la partie pour ce mercredi !!!
RépondreSupprimerVotre belle fille !!
Je viens de regarder un beau reportage en 3 volets sur les Pyrénées. Superbe !
RépondreSupprimerJolies fleurs :)
RépondreSupprimerTa ramonda est magnifique. Comment la cultives-tu ? J'ai un problème avec la mienne qui reste toute petite et ne fleurit pas!
@ Sylvaine,
RépondreSupprimerTu te doutes bien que je ne cultive pas cette ramondie en pleine terre. Elle se plait dans une grande potée que je dispose suivant le temps et la saison à différentes places du jardin, à différentes expositions. Elle est rentrée en hiver, en serre froide, ainsi que les nombreux rejets qu'elle m'a donnés. C'est une star qui aime se faire photographier.
Le substrat se compose d'une terre pas trop riche, sans engrais, mélange de sable et de compost maison + terre de jardin, bien-sûr.
Impressionnante cette pensée noire (pas noire pensée !)
RépondreSupprimerIl y a une bonne quinzaine d'années, j'avais trois pieds de ramonda que j'avais plantés dans un précédent jardin. Ils se portaient à merveille et me valaient bien des compliments. Hélas pour moi, il s'agissait d'une maison de vacances inhabitée une grande partie de l'année. Mes jolis petits pieds .. lol.. avaient du faire des envieux car en revenant après un an d'absence, je n'ai pu que constater la disparition de ceux-ci !! Il y avait trois gros trous à la place. C'était la première fois que j'étais confrontée à des voleurs .. de plantes !! Depuis, j'ai toujours un petit pincement au coeur quand j'en vois. Bonne soirée
RépondreSupprimerMerci pour tes explications.
RépondreSupprimerJe laisse les miennes dehors en hiver, c'est peut-être la raison de leur petitesse !
Nous allions plutôt dans les Alpes que dans les Pyrénées. De ces dernières j'ai ramené des graines d'oeillets de poètes. Il fait la gloire de mon jardin à l'époque des pivoines.
RépondreSupprimerAu bord d'un ruisseau j'ai vu des géraniums sauvages mais n'ai pas pu récolter de graines. J'ai retrouvé ce même géranium au jardin de Berchigrange dans les Vosges.
Les plantes sauvages sont parfois aussi somptueuses que des cultivars